Paul Morand (Gangster)

D'est ou d'ouest, le revolver ne cessait jamais; il lançait furieusement ses vandalismes à droite ou à gauche, et si le meurtre revenait un instant, c'était un hold-up inexplicable: tordus, terrassés, les casses n'en pouvaient plus; les pique-vols à l'astuce s'en détachaient comme des pétales d'arnaque; les exactions elles-mêmes étaient emportées, plus légères qu'un fugitif, leurs grandes malhonnêtetés pendantes; les contrebandes, lancées par un harcèlement invisible, s'immobilisaient en l'air, ailes fermées, riant comme des pègres chatouillées.

Bidouille (Nordmann)

Faire pleurer

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Gangster

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